Fuite déséspérée [for you mon clafoutis]

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Le soleil inondait avec une faible passion la plaine verte presque endormis, dans quelques minutes il se coucheriat laissant tronait à sa place la beautée albatre de la lune, il rembalerait avec lui ses nuages blancs pour laisser la voix libre au cortège d'étoiles. Encore une journée de plus allait se retirer sur les vastes terre de Limited Edition, encore un jour qui allait s'écoulaint, sans remarquer qu'il manquait quelque chose, qu'il y avait un vide. Un poney manquait. Cela faisait plusieurs jours qu'il n'avait plus franchit ce sol de liberté.

L'herbe se froissait comme un million de papillon, les goutellettes d'eau s'accrochaient à n'en plus pouvoir à ses petites pattes qui tournaient bien plus vite que le vent lui même. Les oreilles plaquées en arrières, la croupe serrée, les crins emmeller qui se battaient avec des tresses retenues par des petits élastiques noirs, des yeux emplit d'une panique profonde, d'une peur ancrée comme si la vie y défiler avant de devoir s'y arreter. Ma robe chocolat était devenue presque noir tellement la sueur l'avait tremper, l'écume abondante moussais sur mon encolure. Je galopait,encore, toujours, plus vite plus loin, à en perdre l'haleine à en perdre la vie. Des mottes de terre s'envolaient sur mon passage par a force que mes sabots donnait à mon galop. Jamais je 'navais galoper aussi vite, aussi lontemps. Autour de mon encolure luisante claquait au rythme du vent une lannière en cuir marron retenue par une boucle argenter, chose effrayante qui accentuer encore ma panique. A mes pieds des éclats gris se reveller à chacun de mes lever de pattes, accrocher à mes sabots comme des chaussures de métal, ayant trouer la corne dure.

Je n'osais pas jetter un regard en arrière, voici que je galoper depuis le début de l'après midi au même rythme à la même allure à la même vitesse avec la même determination, celle de sauver sa vie. Je revenais du Nord, on m'avais attraper avec des cordes qui bruler, j'avais encore des traces de ma lutte, par endroit il me manquait des touffes de poils, temoin d'un combat acharné pour garder à tout prit cette liberté qu'on avait voulu me voler. Mais jamais on ne pourrait me dérober cela ou alors j'en mourrais...

Depuis quelque temps la petite So' galopait avec entrain, sans vitesse mais a une cadence régulière. Depuis combien de temps ? Elle ne savait pas, elle ne pourrais le dire, elle ressentait seulement que ses muscles devenait engourdies, presque douloureux. Chaque geste entamait un peu plus son énergie utilisant de plus en plus d'effort. Son allure, anciennement rebondie et délicate devenait maintenant plate et désordonnée. Ses sabots lisse frôlait l'herbe dans un bruissement particulier qui ravissait la jeune grise. La tête haute, ses oreilles finement ciselés - tellement qu'on aurait crue qu'elles étaient taillé par un talentueux artiste - étaient dressées vers un point qui était inconnue, le regard pétillant d'une malice mal dissimulé, un sourire méprisant sur ses lèvres moqueuse; nous avons là le parfait cliché de la ponette parfaite belle voir magnifique, détestable et méprisante.

Ses yeux d'un noir profond qui avait vue tellement de haine, tellement de choses horrible se cantonaient a observer l'horizon d'un bleu limpide d'une agréable teinte où quelques nuages approtaient une touche délicate de gris, de blanc. Même à côté sa robe semblait pure et blanche, son secret ? Elle sortait de la cascade brumeuse qui avait des vertues apaisante mais aussi celle de rendre l'éclat originale à sa robe. So Perfect ponette blanche et délicate arriva rapidement sur le lieu de son bonheur, la plaine vertueuse, om l'herbe grasse ne semblait qu'attendre une chose : être dévoré. Mais elle avait appris depuis longtemps à résister à l'objet de sa tentation si bien, qu'elle n'entendit pas son ventre qui criait famine tandis que ses gestes se firent plus mécanique, moins équins. La fatigue engourdissait ses membres et le sangs palpitait avec force à ses tempes ( sa a des tempes un cheval ? ) avec tellement de vigueur qu'elle aurait pue frôler l'évanouissement. Mais là était le but, elle avait encore une fois repousser ses limites et gagner du souffle par la même occasion, une endurance qui s'avérait régulièrement utile, autant dans les combats que dans des courses plus futiles.

Mais bientôt un grondement sourd et régulier lui fit stoppait son allure. Les membres tremblant d'une soudaine fatigue, elle dut d'abord assurer son équilibre avant de prendre une posture fière, au aguet. Il était dommage qu'elle soit incapable de bouger si elle se trouvait en danger. tournant sa tête sur le côté elle vit au loin un petit poney aux courbes qui lui étaient pas inconnues :Soft. Délitant ses naseaux délicats elle put constater que c'était lui. Elle posa son regard pétillant sur le poney, décelant une panique absolue, une peur inconnue : il galopait comme s'il avait le diable aux trousses. Mais pourquoi tant d'agitation

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Le vent frottait sur moi sans s'arreter, il semblait vouloir freiner ma course folle, il me siffler à l'oreille de ralentir, il me murmurait que le danger était passer. Tout mon corps réclamait une alte, tous mes muscles s'étaient raidies et étaient devenues douloureux exigeant que se cesse de les sollicités. Mes poumons en feux réclamer de l'air que je ne pouvais pas leur apporter. L'horison d'un vert couleur jade semblait s'étalait l'infini je m'arreterais quand j'en verrer le bout, toujours plus vite, je filait comme les étoiles dans le ciel noir de la nuit. Puis soudain ce vent qui me disait être mon ami m'apporta une odeur qui reveilla en moi une source cachée, une nouvelle force naquot en moi, celle du dernier desespoir, celle qui afflut en vous quand vous vous pensez mort et qu'un ange vient frapper votre porte pour vous dire que vous êtes libre. J'huma l'air encore une fois pour être sur que mes naseaux apporter la bonne odeur avant même que mes yeux aient pu capturer cette image saisissante. Je mousser d'écume blanche, si je galopais encore plus lotnemps j'allais m'écrouler, chaque nouvelle foulées étaient un combat acharné que je gagnais de justesse. Enfin elle apparut, pas loin de moi mais les quelques metres qui nous séparer semblèrent des kilomètres douloureux. Tendus jusqu'au sabots je voulut franchir cette barrière mais mon corps entier si oposa, il me laissa la, s'écroulant au sol, me forcant à m'arreter, m'obligeant à ne pas pouvoir allez à sa rencontre. Il ne restais pourtant presque rien, rien que quelques misérables mètres, en trop. J'aurais du m'arreter avant mais comment faire quand derrière nous était lancer à toute allure une troupe de fou furieux qui vous torturais à longeur de journée ? La lanière en cuir m'étranglée à moitié me laissant suffoquer. Etais-ce la fin ? Devais-je mourrir aujourd'hui avec du fer au sabots, des marques de luttes, une corde autour de l'encolure et l'oseur des humains collant à mes poils ?

» Oooo !! Un clafoutis n'a la fraiseuh